Elections : Le président du BED1 de l’Ouest pourrait être sanctionné pour avoir reçu les doléances de la mairesse de Pétion-Ville Mme Claire Lydie Parent
Le conseil électoral provisoire envisage très sérieusement de sanctionner le président du BED1 de l’Ouest qui aurait pris sur lui la responsabilité d’écouter les doléances et contestations de la candidate à la présidence, Mme Claire Lydie Parent écartée de la course pour des problèmes liés à son certificat de décharge (Cour des Comptes) comme mairesse de Pétion Ville dans le cadre du Bureau de Contestation Electorale Départementale (BCED).
Elections : Le président du BED1 de l’Ouest pourrait être sanctionné pour avoir reçu les doléances de la mairesse de Pétion-Ville Mme Claire Lydie Parent
Le conseil électoral provisoire envisage très sérieusement de sanctionner le président du BED1 de l’Ouest qui aurait pris sur lui la responsabilité d’écouter les doléances et contestations de la candidate à la présidence, Mme Claire Lydie Parent écartée de la course pour des problèmes liés à son certificat de décharge (Cour des Comptes) comme mairesse de Pétion Ville dans le cadre du Bureau de Contestation Electorale Départementale (BCED).
‘’Ceci s’est fait en violation de la loi électorale qui stipule noir sur blanc que les décisions du CEP sont finales et ne sont susceptibles d’aucun recours’’, a indiqué le porte-parole du conseil Richardson Dumesle qui confie même que la ‘’décision du président du BED1 de l’Ouest est une faute administrative grave et que les conseillers vont très certainement se réunir pour prendre les mesures de sanction qui s’impose dans ce cas là’’, a encore précisé le porte-parole qui était assisté, au cours de ce point de presse hier vendredi, d’un membre du service juridique de l’institution électorale. Les deux hommes ont confirmé que la liste des 19 candidats retenus sera bien celle qui sera là le jour des élections le 28 Novembre et qu’il n’y aura aucun repêché.
Sur le cas de Wyclef Jean précisément, le CEP a redit que c’est la question de résidence du chanteur qui a posé problème et que même ses avocats avaient indiqué que le concerné réside dans le pays depuis le jour de la prestation de serment du président René Préval, or, un simple calcul mathématique nous permet de comprendre que les cinq années seraient accomplies dans ce cas là le 7 Février 2011. En attendant, les avocats de la vedette du Hip Hop envisagent de porter l’affaire par devant la Cour Interaméricaine des droits de l’Homme.