Monday, April 28, 2025
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Les procureurs généraux de Californie, du Massachusetts, d’Hawaï et de New York ont annoncé une action en justice contre l’administration du Président Trump pour les licenciements massifs au Département de l’Éducation

Le procureur général de Californie, Rob Bonta, attaque l’administration Trump en justice pour des licenciements illégaux au Département de l’Éducation

Brockton – 13 Mars 2025 – (Massachusetts) – PAR YVES CAJUSTE – INFOHAITI.NET –  Lors d’une conférence de presse virtuelle conjointe à la mi-journée avec ses collègues du Massachusetts, d’Hawaï et de New York , le procureur général de Californie, Rob Bonta, a dénoncé une décision jugée illégale et arbitraire de l’administration Trump : le licenciement massif de près de 50 % des employés du Département américain de l’Éducation.

Rob Bonta, Procureure générale de la Californie

Cette décision s’inscrit dans la volonté manifeste du président de démanteler cette agence fédérale, une initiative que Bonta et 20 autres procureurs généraux considèrent comme un abus de pouvoir exécutif.

Une action en justice pour stopper un licenciement de masse illégal

D’entrée de jeu, Rob Bonta a souligné que cette action de la Maison-Blanche va bien au-delà des pouvoirs exécutifs conférés au président par le Congrès. « Ce licenciement massif dépasse toute autorité statutaire accordée par le Congrès », a-t-il affirmé. Il a rappelé que seule une décision législative pouvait mener à une telle restructuration et que l’administration Trump ne pouvait, par un simple décret, anéantir une agence gouvernementale créée par le Congrès.

Selon Bonta, la réduction de personnel imposée au Département de l’Éducation constitue une violation du Federal Administrative Procedures Act, une loi qui empêche toute agence fédérale de contourner les limites de ses propres pouvoirs pour démanteler ses fonctions essentielles. Il a souligné que l’ampleur des licenciements empêcherait le Département de l’Éducation d’exercer ses missions fondamentales, mettant ainsi en péril le fonctionnement du système éducatif américain.

« Seul le Congrès peut effectuer des changements aussi drastiques, pas une agence fédérale, et encore moins un président », a martelé le procureur général.

Des répercussions catastrophiques pour l’éducation aux États-Unis

Rob Bonta a ensuite mis en garde contre les conséquences désastreuses de cette décision sur les élèves, les enseignants et le système éducatif en général. Il a dénoncé une attaque directe contre des programmes essentiels à l’avenir des jeunes Américains.

« Quelles seront les conséquences à long terme pour notre pays ? Elles seront immenses », a-t-il averti. Il a notamment mentionné les coupes dans l’éducation de la petite enfance, un secteur crucial pour le développement des enfants, la suppression de fonds pour l’éducation spécialisée, essentielle pour les élèves en situation de handicap, et la disparition de programmes d’enseignement technique, qui permettent aux jeunes d’acquérir des compétences adaptées aux besoins du marché du travail.

« En 2022, parmi 37 pays développés, les élèves américains se classaient 28e en mathématiques et 12e en sciences. Ces chiffres ne feront qu’empirer si l’on détruit les programmes éducatifs fondamentaux financés par le Département de l’Éducation », a-t-il prévenu.

Une bataille judiciaire pour défendre les droits des étudiants

Face à cette attaque contre l’éducation publique, Rob Bonta a assuré que son bureau, ainsi que ceux des 20 autres procureurs généraux « engagés dans cette bataille », ne resteront pas inactifs. Il a annoncé le dépôt immédiat d’une action en justice pour bloquer cette décision et rétablir les employés licenciés dans leurs fonctions.

« Trump peut crier ‘America First’ autant qu’il veut, mais son agenda anti-éducation ne fera que nous envoyer tout droit en dernière place », a-t-il fustigé.

Se décrivant comme un procureur général, un père de famille et un citoyen préoccupé par l’avenir du pays, Rob Bonta a insisté sur son engagement à protéger le droit des enfants à une éducation de qualité.

« Je ne peux pas rester les bras croisés pendant que le président sacrifie l’avenir de nos enfants », a-t-il affirmé. Il a ironisé sur le comportement du président, insinuant qu’il avait peut-être « oublié de lire les limites de son autorité constitutionnelle », trop occupé à transformer la Maison-Blanche en concession automobile.

Un engagement sans faille face aux abus du pouvoir exécutif

Rob Bonta a conclu son intervention en promettant de continuer à combattre les décisions jugées illégales de l’administration Trump en justice. Il a assuré que cette action en justice ne serait pas la dernière, compte tenu des nombreuses dérives légales observées depuis le début de ce second mandat présidentiel.

« Nous ne nous attendons pas à ce que cette série d’ordres exécutifs illégaux et chaotiques s’arrête. Et cela signifie que notre travail ne s’arrêtera pas non plus », a-t-il déclaré.

Enfin, il a tenu à remercier les membres de son équipe juridique au sein du Department of Justice de Californie pour leur travail acharné dans la préparation de cette action en justice.

« Grâce à leur dévouement et à leur ténacité, nous sommes prêts à affronter la tempête », a-t-il affirmé avant de céder la parole à la procureure générale du Massachusetts, Andrea Campbell.

AG Andrea J. Campbell du Massachusetts

Le président Donald Trump veut démanteler « un pilier essentiel pour garantir l’égalité des chances en matière d’éducation aux États-Unis »

Prenant la parole à cette conférence de presse virtuelle conjointe, Andrea Campbell, a fermement dénoncé la décision de l’administration Trump de licencier près de 50 % des employés du Département de l’Éducation. Cette action en justice vise, a-t-elle dit, à empêcher une tentative jugée illégale de démantèlement du Département de l’Éducation, un pilier essentiel pour garantir l’égalité des chances en matière d’éducation aux États-Unis.

Une attaque frontale contre l’éducation publique et les élèves les plus vulnérables

Andrea Campbell a rappelé que le Département de l’Éducation joue un rôle central dans la réussite des élèves, notamment dans son État du Massachusetts, où il soutient près d’un million d’élèves et contribue à hauteur de 2 milliards de dollars par an aux écoles publiques.

« Ce financement est vital pour financer l’éducation spéciale, les salaires et avantages des enseignants, le travail des assistants sociaux, la formation continue, les programmes parascolaires, les spécialistes en lecture et en langues, ainsi que les transports scolaires », a-t-elle détaillé.

Elle a souligné que les coupes budgétaires décidées par l’administration Trump priveraient les élèves défavorisés et ceux en situation de handicap des ressources nécessaires pour réussir.

« La fermeture du Département de l’Éducation ne signifie pas seulement moins de professeurs ou de manuels scolaires, cela signifie moins d’accès à l’éducation, plus d’inégalités etc ..», a-t-elle averti.

Des conséquences désastreuses pour les universités et le financement des étudiants

Campbell a également mis en lumière l’impact de ces licenciements massifs au-delà des écoles primaires et secondaires. Les universités et les étudiants du Massachusetts seront directement touchés, car cette décision met en péril des financements fédéraux essentiels tels que les bourses Pell (Pell Grant) , les programmes de travail-études et les prêts étudiants.

« Le coût des études supérieures augmentera et des milliers d’étudiants issus de familles modestes pourraient ne plus avoir les moyens d’accéder à l’université », a-t-elle dénoncé.

Une violation de la loi et un abus de pouvoir présidentiel

Pour la procureure générale, il est clair que ces licenciements massifs violent la loi fédérale.

« Le président des États-Unis n’est pas un roi », a-t-elle martelé. « Il ne peut pas supprimer une agence fédérale créée par le Congrès ni modifier ses responsabilités à sa guise. Seul le Congrès a ce pouvoir, et il a toujours refusé d’abolir le Département de l’Éducation. »

Elle a accusé Trump de faire preuve d’un mépris flagrant pour l’État de droit et d’adopter une politique cruelle et destructrice à l’égard des jeunes Américains.

Un combat pour protéger les droits des étudiants et l’avenir de l’éducation

Andrea Campbell a insisté sur le fait que son bureau, ainsi que les autres procureurs généraux engagés dans cette action, n’abandonneront pas ce combat.

« Le Massachusetts a  le meilleur système éducatif du pays. Nous sommes un État qui croit fermement en l’accès universel à une éducation de qualité, indépendamment de l’origine ou du statut social de l’élève », a-t-elle déclaré.

Elle a rappelé que le Massachusetts est un pionnier en matière d’éducation publique, proposant des repas scolaires gratuits à tous les élèves, un accès gratuit aux collèges communautaires (Community Colleges)  pour les étudiants de plus de 25 ans, et des politiques éducatives favorisant l’excellence académique.

« Nous devons défendre ces avancées et ne pas laisser cette administration anéantir des décennies de progrès », a poursuivi Andrea Campbell.

Fermeture du Bureau des droits civiques : un danger pour l’égalité et la justice

Campbell a également dénoncé la fermeture du Bureau des droits civiques du Département de l’Éducation à Boston, une décision qui prive les élèves de protection contre les discriminations et les incidents de haine, en forte augmentation dans le Massachusetts.

« Nos enfants ne doivent pas devenir des pions politiques », a-t-elle affirmé. « Nous devons nous battre pour qu’ils puissent apprendre dans un environnement sûr, inclusif et respectueux des droits fondamentaux. »

Un appel à la justice pour bloquer ces licenciements illégaux

Dans cette action en justice, Andrea Campbell et ses collègues demandent une injonction pour empêcher l’administration Trump d’exécuter ces licenciements massifs et de poursuivre son projet de démantèlement du Département de l’Éducation.

« Nous devons stopper cette attaque injustifiée et inconstitutionnelle contre l’éducation publique », a-t-elle déclaré. « Nos élèves méritent un avenir stable, pas le chaos et l’incertitude que cette administration tente d’imposer. »

Avant de céder la parole à sa collègue, la procureure générale d’Hawaï, Anne Lopez, Andrea Campbell a réaffirmé son engagement à protéger les élèves, les enseignants et les familles américaines contre cette décision arbitraire.

La procureure générale d’Hawaï, Anne Lopez

Anne Lopez, Procureure Générale d’Hawaï

La procureure générale d’Hawaï, Anne Lopez, assimile le démantèlement du Département de l’Éducation par l’administration Trump à une attaque contre le droit fondamental à l’éducation et une violation flagrante du pouvoir présidentiel

Lors de cette conférence de presse virtuelle conjointe avec les trois autres autres procureurs généraux, Anne Lopez, procureure générale d’Hawaï, a exprimé son inquiétude et son indignation face aux licenciements massifs au sein du Département américain de l’Éducation. Elle a dénoncé une attaque contre le droit fondamental à l’éducation et une violation flagrante du pouvoir présidentiel, engageant ainsi son État dans un recours en justice pour stopper cette décision.

Une attaque contre un droit fondamental

Anne Lopez, elle-même issue d’une famille d’enseignants et ayant été scolarisée dans des écoles publiques, s’est dite profondément préoccupée par cette mesure.

« Je suis le produit du système éducatif public que le président des États-Unis essaie aujourd’hui de démanteler. »

Elle a rappelé que l’éducation publique est un droit fondamental pour tous les enfants américains, indépendamment de leur État, de leur couleur de peau, de leur origine sociale ou de leur situation de handicap.

« Chaque enfant doit pouvoir apprendre et grandir. C’est le système scolaire public qui garantit cette opportunité. Si ces suppressions de postes et ce démantèlement du Département de l’Éducation sont mis en œuvre, ce sera une catastrophe pour Hawaï et pour tout le pays. »

Des conséquences désastreuses pour Hawaï

Bien que plus petit que d’autres États, Hawaï dépend fortement du financement fédéral pour soutenir son système éducatif. Chaque année, l’État reçoit environ 250 millions de dollars pour l’éducation de la maternelle au lycée (K-12).

« Ces fonds permettent de financer, entre autres, les repas scolaires à hauteur de 70 millions de dollars par an, ainsi que les programmes d’éducation spécialisée, qui garantissent aux élèves en situation de handicap la possibilité d’apprendre aux côtés de leurs camarades. »

En réduisant drastiquement les effectifs du Département de l’Éducation, le gouvernement fédéral met en péril ces services essentiels et risque d’accentuer les inégalités dans l’accès à l’éducation.

Un combat pour l’État de droit et l’avenir des élèves

Anne Lopez a dénoncé une nouvelle tentative de Donald Trump d’abuser de son pouvoir exécutif, en contournant le Congrès pour imposer des réformes destructrices.

« Le président n’a pas le pouvoir de démanteler un département fédéral qui a été créé par le Congrès. Il ne peut pas s’arroger des droits qui ne lui appartiennent pas. Nous devons stopper cette dérive avant qu’elle n’aille encore plus loin. »

Elle a également tenu à mobiliser les parents et tous ceux qui sont concernés par l’éducation publique, les appelant à se joindre à cette lutte pour défendre l’avenir des enfants américains.

« Chaque parent d’élève doit se lever contre cette tentative de destruction. L’éducation n’est pas un privilège réservé à une élite, c’est un droit fondamental pour tous. »

Un mur de résistance contre les abus de l’administration Trump

Lopez a insisté sur la nécessité de maintenir la pression juridique contre cette mesure, en soulignant le rôle crucial joué par les procureurs généraux démocrates pour protéger les droits des citoyens face aux abus de l’administration fédérale.

« Nous sommes un mur solide contre les actions illégales de cette administration. Et nous continuerons à nous battre ensemble pour défendre l’État de droit et l’accès à une éducation de qualité. »

Avant de céder la parole à sa collègue, Letitia James, procureure générale de New York, Anne Lopez a rappelé son engagement à continuer ce combat pour préserver l’éducation publique aux États-Unis.

La procureure générale de New York, Letitia James

Letitia James, Procureure Générale de New York

La procureure générale de New York, Letitia James, dénonce une attaque frontale contre l’éducation publique, qui met en danger des millions d’élèves, notamment les plus vulnérables

Lors de son intervention à cette conférence de presse virtuelle aux côtés de ses homologues de Californie, du Massachusetts et d’Hawaï, Letitia James, procureure générale de l’État de New York, a vivement condamné la décision de l’administration Trump de licencier près de 50 % des employés du Département américain de l’Éducation.

Elle a dénoncé une attaque frontale contre l’éducation publique, qui met en danger des millions d’élèves, notamment les plus vulnérables, et a annoncé que son bureau engageait une action en justice pour stopper cette mesure jugée illégale, irresponsable et immorale.

Un démantèlement qui met en péril l’avenir de 50 millions d’élèves

Pour Letitia James, la décision de Donald Trump de vider le Département de l’Éducation de ses ressources humaines et financières constitue une attaque directe contre l’avenir des élèves américains.

« En supprimant le financement du Département de l’Éducation, l’administration Trump s’attaque directement aux millions d’élèves qui dépendent de ses services. Cette mesure compromet leur accès à une éducation complète et de qualité. »

Elle a rappelé que plus de 50 millions d’élèves de la maternelle au lycée (K-12) sont directement menacés par ces coupes budgétaires, ce qui aura des conséquences dévastatrices pour leur apprentissage et leur réussite.

New York parmi les États les plus touchés

L’impact de cette décision est particulièrement grave pour l’État de New York, qui a reçu plus de 6 milliards de dollars du Département de l’Éducation l’année dernière.

« En tant que produit du système scolaire public de New York, je me battrai pour garantir que nos millions d’élèves continuent à recevoir le soutien qu’ils méritent. »

Elle a également souligné que les étudiants des universités new-yorkaises sont parmi les plus nombreux aux États-Unis à bénéficier des bourses Pell, destinées aux étudiants issus de milieux défavorisés.

Une attaque contre les élèves les plus vulnérables

Letitia James a insisté sur le fait que les étudiants les plus touchés par ces coupes budgétaires seront ceux issus de familles à faible revenu et les élèves en situation de handicap.

« Le financement du Département de l’Éducation permet aux élèves ayant des besoins spécifiques d’avoir accès à des enseignants et à des services adaptés. Il garantit aussi des ressources supplémentaires aux écoles situées dans des quartiers défavorisés ou en zones rurales. »

Elle a également dénoncé la fermeture du Bureau des droits civiques du Département de l’Éducation, une mesure qui met en danger la sécurité et les droits fondamentaux des élèves.

« Ce bureau protège les étudiants contre les discriminations et les agressions sexuelles. En supprimant les postes de ceux qui y travaillent, l’administration Trump met en péril la sécurité de nos enfants. »

Une action illégale qui doit être stoppée

Pour la procureure générale de New York, cette tentative de démantèlement du Département de l’Éducation est non seulement une erreur politique majeure, mais aussi une violation manifeste de la loi.

« Le président des États-Unis n’a pas le pouvoir de démanteler une agence créée par le Congrès. Il ne peut pas couper des financements d’un trait de stylo, comme s’il s’agissait d’une simple formalité administrative. »

Elle a dénoncé une administration guidée par le chaos et la confusion, qui met en péril les fondements mêmes du système éducatif américain.

« Nous avons déjà combattu leurs politiques destructrices et nous continuerons à le faire. Nous ne laisserons pas cette administration priver nos enfants de leur droit à une éducation de qualité. »

Un engagement inébranlable pour défendre les élèves et les familles

Letitia James a conclu en réaffirmant son engagement aux côtés des autres procureurs généraux pour empêcher ces licenciements et protéger les millions d’élèves, d’éducateurs et de familles qui comptent sur le Département de l’Éducation.

« Aujourd’hui, je suis aux côtés de mes collègues pour défendre l’État de droit et garantir que nos étudiants auront l’éducation qu’ils méritent. »

Elle a remercié les procureurs généraux Rob Bonta (Californie), Andrea Campbell (Massachusetts) et Anne Lopez (Hawaï) pour leur solidarité et leur engagement dans cette bataille judiciaire cruciale.

Dans son intégralité, la conférence de presse virtuelle des procureurs généraux de la Californie (Rob Bonta), d’Hawaï (Anne Lopez), de New York (Letitia James) et du Massachusetts (Andrea Campbell).

 

POUR RAPPEL

Principales actions en justice contre des Décrets du Président Donald Trump :

  • Protection des droits civiques et de l’éducation : Les procureurs généraux, dont Andrea Campbell, ont intenté des actions en justice pour contester les tentatives de l’administration Trump de démanteler le Département de l’Éducation. Ces actions visaient à empêcher la suppression de programmes essentiels pour les étudiants, notamment ceux issus de milieux défavorisés ou en situation de handicap.
  • Défense de l’environnement : Plusieurs États démocrates ont poursuivi l’administration Trump pour ses tentatives de démanteler les réglementations environnementales existantes. Ces poursuites visaient à protéger les normes environnementales et à lutter contre les politiques fédérales perçues comme nuisibles à l’écologie.
  • Lutte pour les droits reproductifs : Face aux tentatives de l’administration de restreindre l’accès à l’avortement, des procureurs généraux démocrates ont engagé des actions en justice pour protéger les droits reproductifs des femmes dans leurs États respectifs.
  • Opposition aux politiques anti-immigration : Des actions en justice ont été entreprises pour contester les politiques fédérales visant à expulser les immigrants en situation irrégulière, notamment lorsque ces politiques étaient perçues comme contraires aux valeurs et aux lois des États concernés.

 

 

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