La situation politique du pays est très grave, c’est que constate Walmios Morice, ancien directeur départemental du ministère du Commerce. Il indique qu’ « un petit groupe d’opposants éternels veulent empêcher que le pays avance ». « Ces opposants éternels veulent faire croire qu’ils sont des démocrates et pratiquent la démagogie », déclare-t-il, qualifiant de malveillance et de comédie politique les appels au départ du président Martelly par l’opposition. Walmios Morice dit croire que ceux qui appellent au départ du président ont déjà commis plus de tort au pays que l’équipe au pouvoir. (RADIO LUMIERE)
La situation politique du pays est très grave, c’est que constate Walmios Morice, ancien directeur départemental du ministère du Commerce. Il indique qu’ « un petit groupe d’opposants éternels veulent empêcher que le pays avance ». « Ces opposants éternels veulent faire croire qu’ils sont des démocrates et pratiquent la démagogie », déclare-t-il, qualifiant de malveillance et de comédie politique les appels au départ du président Martelly par l’opposition. Walmios Morice dit croire que ceux qui appellent au départ du président ont déjà commis plus de tort au pays que l’équipe au pouvoir. (RADIO LUMIERE)
«Lorsqu’on considère la somme faramineuse que dépense le trésor public pour chaque parlementaire qui, quant à eux, ne font rien pour le pays, ils devraient faire un geste de dépassement de soi pour favoriser le décollage du pays au lieu de se constituer en éléments de blocage », ajoute Walmios Morice. (RADIO LUMIERE)
Le sénateur Francisco de La Cruz déclare qu’ « il doute fort que le président Martelly veuille organiser les prochaines élections ». Le sénateur soutient que « le président n’est jamais un homme de parole ». Il estime que les paroles du président Martelly peuvent être le résultat des pressions diplomatiques internationales. « C’est bien dommage que le président qui devrait être le garant de la bonne marche des institutions n’assume pas ses responsabilités », déplore le sénateur De La Cruz. (RADIO LUMIERE)
« Au lieu d’organiser des élections entachées de magouilles comme celles de 2010, le gouvernement ferait mieux de faire des nominations », lance Mme Anne Mari France Etienne, ancienne candidate au Sénat pour le département du Sud. « L’organisation d’élections crédibles, honnêtes et transparentes est la seule voie qui puisse sortir le pays de l’impasse », ajoute-t-elle, appelant le président à prioriser le dialogue et l’unité pour mieux diriger le pays. (RADIO LUMIERE- RADIO MACAYA-RADAIO LUMIERE-RADIO MONOPOLE)
EDUCATION
Les écoles publiques des Cayes, plus spécialement les Lycées, n’ont pas fonctionné hier à cause de la grève lancée par les syndicats d’enseignants. Sergot Piloge, professeur aux Lycées Philippe Guerrier et Claudi Museau des Cayes, indique que « les dirigeants politiques font toujours de l’Education leur cheval bataille mais ne fait rien pour structurer le système éducatif haïtien». Mr. Piloge estime que cette grève est extrêmement importante pour pousser l’Etat à assumer ses responsabilités dans le secteur éducatif. (RADIO LUMIERE- RADIO MACAYA-RADIO LUMIERE-RADIO MONOPOLE)
D’un autre côté, Sergot Piloge, dénonce le Programme d’Education Universelle Gratuite du président Martelly. Il rapporte que les professeurs du programme d’Education gratuite ont touché 1 an de sa- laire sur 3 ans de travail pendant que le gouvernement fait de la publicité prétextant que ce programme marche très bien. (RADIO LUMIERE- RADIO MACAYA-RADAIO LUMIERE-RADIO MONOPOLE)
Les élèves du Lycée Philippe Guerrier des Cayes appellent les autorités de l’Etat à répondre aux revendications des enseignants. Ils menacent de manifester travers les rues de la ville au cas où ils ne trouvent pas de professeurs dans leurs classes dans les prochains jours. (TMS-RADIO MACAYA-RADAIO LUMIERE-RADIO MONOPOLE)
Mme Anne Marie France Etienne, Coordonnatrice de l’Union des Normaliens Haïtiens (UNOH), se félicite de la collaboration des enseignants des Cayes pour la réussite de la grève. Elle appelle le titulaire du ministère de l’Education à répondre aux revendications des enseignants pour que les cours reprennent. (TMS)